tiistai 9. maaliskuuta 2010

Les Lettres françaises - chapitre 3

Maintenant, dans notre monde occidental, on garde contact avec ses amis en utilisant les technologies différentes. Les contacts – qui la plupart du temps étaient antérieurement directs – sont devenus indirects. Ce n’est pas nécessaire de parler avec ses proches, parce qu’il y a beaucoup d’autres moyens de communication: par exemple les textos, les méls et les medias sociaux (les blogues comme ceci mais aussi Facebook et Twitter). Les modèles de communication sont devenus multilatérals et – paradoxalement – souvent aussi impersonnels. Ainsi, les réseaux différents de communication définissent nos relations avec des autres de nouveau.

Une lettre traditionnelle (écrit à une véritable feuille de papier) ou un appel téléphonique n’est pas très ordinaire aujourd’hui. Si on téléphone directement à quelqu’un inconnu, on a besoin d’une raison extraordinaire. De ma part, je crois que je suis généralement content avec ce changement. J’utilise beaucoup d’Internet et de courriers électroniques. Naturellement, avec mes amis j’ai aussi utilisé les SMS – mais ici je dois payer séparément pour les utiliser ! Donc, ou je téléphone, ou j’écris les méls.

Mais, même si je suis content, j’ai un peu de peur des effets des ces moyens. Est-ce possible que nous ne nous rappelons pas que il y a beaucoup de gens qui n’ont pas de possibilités pour utiliser les nouvelles technologies ? Est-ce possible que les internautes et les technophiles oublient le concept de « la justice sociale » ? Ce n’est pas tout le monde qui possède un ordinateur de poche ou un portable. Ce n’est pas possible pour tout le monde de se connecter. L’avantage technologique des pays postindustriels est écrasant en comparaison avec des pays en voie de développement.

Aussi, il y a une question à propre du concept de « la surveillance ». Si quelqu’un utilise les nouvelles technologies, on a besoin de faire attention aux conséquences. Nous déposons un chemin digital derrière nos dos – et nous nous surveillons ! Les médias sociaux, par exemple Facebook, est comme un grand « panoptique » volontaire. C’est un concept qui Michel Foucault a expliqué dans son ouvrage majeur « Surveiller et punir: Naissance de la prison ». Si nous pensons que nous sommes libérés quand nous utilisons les médias sociaux, la vérité est peut-être une autre chose.

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